Après plus de 5 mois de suspension, le procès en appel de Vital Kamerhe, dans le dossier dit des 100 jours, reprendra le 15 février prochain à la Cour d’appel de Kinshasa/Gombe.
Condamné, au premier degré, à 20 ans de prison, assortis de plusieurs restrictions, à cause du détournement de fonds destinés à l’achat de 4 000 maisons préfabriquées pour le compte des militaires, en complicité avec l’homme d’affaires libanais Samih Jammal, l’ancien directeur de cabinet du chef de l’État, qui continue de clamer son innocence, tient à démontrer son innocence en appel.
LM