Un des proches d’Eugène Diomi Ndongala vient d’éclairer la lanterne de l’opinion concernant le supposé viol qu’aurait commis, vendredi 16 juillet, Eugène Diomi Ndongala, dans la commune de Kinshasa.
« Il n’y a pas eu viol. D’ici-là, nous rentrerons à la maison », a dit cette source, jointe par MCP.
En effet, les faits se seraient déroulés ainsi : Constatant qu’un groupe de locataires de Kabambare ne payait plus le loyer depuis trois mois, Diomi s’est résolu de descendre sur place afin s’enquérir de la situation et trouver une solution.
C’est à cette occasion qu’il apprendra lesdits locataires sont des femmes. Après des échanges et discussions serrés, ces insolvables ont appelé la police à qui elles ont dit qu’elles seraient en danger, et que Diomi les auraient violées.
Tout le monde a été embarqué et ramené au Camp Lufungula, et l’affaire s’est ébruité en sa défaveur, au vu de son précédent judiciaire…
Rappelons, Eugène Diomi Ndongala a déjà été condamné en 2014 à dix ans de détention pour viol sur mineures. Le président de Démocratie chrétienne à quitté la prison le 21 mars 2019, après avoir bénéficié d’une libération conditionnelle par le chef de l’État Tshisekedi.
La police a fait foi de sa version, les locataires ont reconnu la dette de 2000 dollars américains.
LM
