Dans une enquête réalisée depuis des mois par des médias internationaux dénommée « Congo hold up », et dont les conclusions ont été rendues publiques vendredi 19 novembre 2021, Joseph Kabila et ses proches sont mis en cause dans des scandales de détournement des millions de dollars américains en République démocratique du Congo.
Face à ces accusations,Barbara Nzimbi, chargée de communication de l’ancien président a réagi via un communiqué, où elle dénonce une fixation « haineuse » de certains médias et associations sur la personne de Joseph Kabila, sénateur à vie.
Parlant de ses réalisations alors qu’il était président de la République, Barbara Nzimbi cite, entre autres, la pacification et la réunification de la République démocratique du Congo, la Constitution de 2006, la démocratisation avec trois cycles électoraux, la relance économique et l’alternance pacifique historique.
« Le peuple congolais est appelé à ne pas succomber à cet énième tentative de décrédibilisation et non la dernière, à demeurer dans la vigilance tous azimuts et dans la sagesse patriotique face à cet acharnement injustifié des puissances occultes qui n’ont jamais digéré les choix courageux de souveraineté opérés sous la présidence de Joseph Kabila, notamment en matière électorale et minière », souligne ce communiqué.
Pourquoi une coalition des médias et Ong pour ces investigations ? Pourquoi rattacher à tout prix les structures en cause, pourtant autonomes à la personne de Kabila ? Faut-il à tout prix enterrer l’homme et son héritage ? s’interroge, de son côté, Néhémie Mwilanya, ancien directeur de cabinet de Joseph Kabila.
Ci-dessous, l’intégralité du communiqué:
LM