Les pourfendeurs de la Sino-Congolaise des mines usent de toutes sortes de subterfuges en vue de porter nuisance à sa réputation, des manœuvres vaines en fin de compte, devant la géante minière qui ne lésine pas sur les moyens pour évoluer dans un environnement sain.

Le document intitulé ”La Sicomines S.A. : plus de 69 millions usd inscrits dans la protection de l’environnement et des populations du Lualaba” publié récemment coupe court aux velléités des personnes nuisibles.

Après avoir tâté sans succès sur la gestion des ressources humaines, une ONGDH qui se déclare spécialisée dans la protection et l’exploitation des ressources naturelles est revenue à la charge pour remettre en question son engagement dans la protection de l’environnement.

Un nouveau coup d’épée dans l’eau face au fleuron de la coopération Sino-Congolaise qui, depuis sa création, a investi environ 69.079.880 USD pour la conception du projet de protection de l’environnement et 9.013.950 USD en faveur de mesures de protection environnementale. Ceci pour assurer la protection des populations situées autour de ses installations contre 7notamment les maladies, la pollution des rivières et de la terre. Le département en charge de l’environnement et de la sécurité veille à assurer au quotidien la protection de la biodiversité et de son environnement minier.

La joint-venture sino-congolaise se conforme aux prescrits de la loi loi 038/2003 du 26 mars 2003 portant règlement minier tel que modifié et complété par le décret du 18/024 du 08 juin 2018 relatif à la gestion socio-environnementale et à l’article 477 alinéas 1er litera b du code minier, en vue de contribuer au développement du milieu et de la communauté locale.

« Au-delà du simple respect des réglementations en vigueur, la Sicomines S.A. met en place une technologie haute afin de mieux anticiper les risques et limiter l’empreinte environnementale », veillant par ricochet sur le bien-être social des communautés locales.

Les ressources en eau, étant un produit essentiel dans le processus de l’exploitation dans une industrie minière : de l’extraction, du traitement et transport des minerais comme pour l’homme, les animaux et végétaux d’où, l’évaluation systématique des aspects environnementaux, sociétaux, et économiques reste dans le chef de cette société, soutient-elle.

Par ailleurs, soucieuse de maintenir l’équilibre de la biodiversité, la Sino-Congolaise des mines affecte chaque année la somme de un million de dollars américains pour s’assurer de ”l’exécution efficace des travaux de protection de l’environnement à l’intérieur de ses installations, dont plusieurs mesures d’urgence sont exécutées en vue d’atténuer les impacts et immuniser les personnes les plus exposées, le plus rapidement possible », lit-on dans ce document, faisant du développement vert son cheval de bataille.