L’Association africaine de défense des droits de l’homme (Asadho) sollicite des poursuites judiciaires contre les 82 candidats aux élections législatives et provinciales du 20 décembre 2023 qui sont invalidés par la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) pour corruption, fraude électorale, détention illégale des dispositifs électroniques de vote, vandalisme du matériel électoral, incitation à la haine…
« La justice doit poursuivre ces individus pour qu’ils soient sanctionnés et mis en prison. Agir ainsi, va permettre d’assainir la classe politique et donner un message fort aux bandits politiques », a dit, lundi 8 janvier courant, Me Jean-Claude Katende, avocat et président de l’Association africaine de défense des droits de l’Homme (Asadho).
82 candidats aux élections législatives et provinciales organisées le 20 décembre 2023 sont invalidés pour fraude, a annoncé tard dans les premières heures du samedi 6 janvier, la Commission électorale nationale indépendante.
LM