La caravane du Service national a visité, ce vendredi 28 février 2025, l’Institut technique commercial/Ngaliema et l’Institut technique commercial/Djelo Binza. Chacun de ces établissements a bénéficié de 300 bancs-pupitres pour améliorer les conditions d’étude.
« Nous, élèves du Lycée technique de Ngaliema, sommes honorés en ce jour, et vous remercions d’avoir pensé à nous à travers cette remise officielle de bancs-pupitres. Cette dotation de 300 bancs-pupitres va davantage améliorer nos conditions d’étude. Cet acte nous va droit au cœur et nous vous serons infiniment reconnaissants », a déclaré une élève au nom de tous ses collègues.
Des bancs estampillés « Service national » ont également été remis à l’ITC/Djelo Binza, une école qui date de l’époque coloniale et qui a subi des réhabilitations ponctuelles, partielles, et qui fait face à des spoliations.
Dans cette école, l’émissaire de Félix Tshisekedi, le Lieutenant-général Jean-Pierre Kasongo Kabwik, commandant du Service national, était porteur, non pas d’un discours, mais de bancs, synonyme d’un espoir qui renaît, l’assurance des lendemains meilleurs, d’où les remerciements des élèves.
« … répondant à la vision du chef de l’État, vous avez programmé notre école pour la remise des bancs, œuvres réalisées par nos frères et sœurs autrefois appelés Kulunas, aujourd’hui bâtisseurs. Cette journée restera inoubliable dans nos mémoires. Merci au président de la République pour le souci majeur qu’il accorde à la jeunesse estudiantine », ont déclaré, à leur tour, les élèves de cette école.
Pour le Service national, l’école doit être la priorité des priorités. « Désormais, l’école doit devenir la priorité des priorités. Pour qu’il en soit ainsi, chacun doit prendre ses responsabilités et jouer sa partition. En ce qui nous concerne, nous, Service national, nous suivrons les instructions du commandant suprême jusqu’à la fin. Aujourd’hui, nous sommes sur le chantier de bancs-pupitres. Demain, ça sera la production de manuels scolaires et autres objets pédagogiques, sans oublier les uniformes scolaires. Cette rencontre dans votre école est la première, mais pas la dernière », a rassuré le Lieutenant-général Jean-Pierre Kasongo Kabwik.
LM
