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Réagissant à l’intervention du Président Félix Tshisekedi, mardi 20 septembre, à la 77e Assemblée générale de l’ONU, Eugène Diomi Ndongala estime que « Félix Tshisekedi a mis l’adversaire devant un fait accompli ».

Le leader de la Démocratie chrétienne (DC) dit partager totalement l’angle pris par le Chef de l’État sur la problématique de l’insécurité dans l’Est de la République démocratique du Congo.

« C’est une approche très pragmatique. C’est du real politique diplomatique international », car il a démontré, du haut de la tribune de l’ONU, « le double jeu de la communauté internationale dans la crise rwando-congolaise ».

Pour mettre fin à la guerre, poursuit ce leader Ne Kongo, « il faut identifier les protecteurs de nos agresseurs et négocier avec eux du real politique diplomatique ».

Il propose au gouvernement de la RDC, d’un côté, les négociations, et de l’autre, la restructuration de l’armée et son renforcement en hommes et en équipements afin de prévenir toute autre prochaine agression.

Quant au dernier rapport des experts de l’ONU sur la situation sécuritaire à l’Est, ce document est un « témoignage international » sur la vérité du terrain. Il traduit « la preuve de l’implication du Rwanda en RDC ».

Diomi met donc la communauté internationale devant ses responsabilités et dit attendre des résolutions condamnant et sanctionnant le Rwanda, au profit de la RDC.

LM

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