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C’est dans la grande salle du centre culturel du collège Boboto que s’est tenu le weekend dernier le cadre de concertation genre, inclusion et élection dans l’objectif de sensibiliser différentes structures de la société civile ( les personnes vivant avec handicap, les peuples autochtones, les associations féminines et autres) sur la loi électorale révisée et la révision du fichier électoral.

Dans son mot d’ouverture, Didi Manara, deuxième Vice-président de la centrale électorale, a fait savoir à l’assistance que la Commission électorale nationale indépendante (Céni) veut inclure toutes les parties prenantes au processus en cours, pour qu’aucune couche de la population ne reste à l’écart des préparations des consultations électorales prévues en 2023.

 » Pour améliorer la participation aussi bien des femmes que des jeunes, avec eux des personnes vivant avec handicap au sein de l’institution, Céni a pris la résolution de recruter, de manière préférentielle, cette catégorie des Congolais et congolaises lorsqu’elle présente les mêmes compétences que d’autres », a dit Didi Manara

Et après s’en est suivi une série d’échanges autour des différentes thématiques, notamment, la présentation des outils sur le genre et inclusion de la Céni ; la cartographie électorale ainsi que la nouvelle loi électorale et ses mesures d’application.

Ayant pris la parole pour des échanges, les personnes vivant avec handicap ont salué le fait que la Céni a associé la couche de la population la plus vulnérable à ce cadre de concertation pour permettre à toute la population sans discrimination de comprendre l’évolution du processus électoral qui va aboutir à l’organisation des élections en 2023.

Daniel Aloterembi

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