Après avoir été accusé de viol sur mineure, supposé avoir été commis le vendredi 16 juillet dernier, le président de la Démocratie chrétienne (DC), Eugène Diomi Ndongala, a été libéré ce samedi 17 juillet dans la soirée, et se repose dans sa résidence.
Bien avant cela, ses proches avaient éclairé l’opinion sur cette affaire. En effet, selon ces derniers, constatant qu’un groupe de locataires d’une des résidences de sa chère maman, située sur l’avenue Kabambare, dans la commune de Kinshasa, ne payait plus le loyer depuis trois mois, Diomi Ndongala s’est résolu de se rendre sur place afin de s’enquérir de la situation et trouver une solution.
C’est à cette occasion qu’il apprendra que lesdits locataires sont des femmes. Après des échanges et discussions serrés, ces locataires auraient appelé la police à qui elles auraient dit qu’elles seraient en danger, et que Diomi Ndongala les aurait violées.
Tout le monde a été arrêté et ramené au Camp Lufungula, et l’affaire s’est ébruité en défaveur de Diomi Ndingala, déjà accusé de viol sur mineur.
Néanmoins, explique-t-on, la police a cru la version de Diomi Ndongala et les locataires ont reconnu qu’elles doivent à ce dernier la somme de 2000 dollars américains.
LM