Le Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (Pprd) a dénoncé, lundi 27 octobre, une nouvelle suspension de ses activités décidée par le ministère congolais de l’Intérieur.
Lors d’une conférence de presse tenue à Kinshasa, le vice-président national du parti, Aubin Minaku, a fustigé une décision qu’il qualifie de « harcèlement politique » visant à « réduire au silence la principale formation d’opposition issue de l’ancien président Joseph Kabila ».
Selon le Pprd, la notification officielle de la suspension a été reçue le même jour. Le parti rappelle qu’il avait déjà été suspendu une première fois en mai dernier, avant d’annoncer la reprise de ses activités le 6 mai, malgré les restrictions imposées par les autorités.
Aucune réaction officielle du ministère de l’Intérieur n’a encore été rendue publique à ce sujet.
Djodjo Vondi















