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Avec plus de 250 signatures recueillies, la pétition visant le président de l’Assemblée nationale, Vital Kamerhe, et certains membres de son bureau a franchi une étape décisive. Officiellement réceptionné par le cabinet du premier vice-président Jean-Claude Tshilumbayi, le document place désormais le bureau de l’Assemblée sous forte pression.
Après la fermeture des bureaux administratifs et politiques de l’Assemblée nationale, la pétition initiée contre Vital Kamerhe et certains membres de son bureau a finalement été déposée et réceptionnée, ce lundi 15 septembre.
C’est le cabinet du premier vice-président, Jean-Claude Tshilumbayi, qui a accusé réception du document auprès des pétitionnaires.
Fort de plus de 250 signatures, le texte devrait être inscrit à l’ordre du jour de la prochaine session parlementaire, consacrée exclusivement au budget.
Deux personnalités échappent cependant à cette démarche : Christophe Mboso N’kodia et Jean-Claude Tshilumbayi.
En cas de destitution de Vital Kamerhe et des membres concernés du bureau, l’Assemblée nationale devra installer un nouveau bureau d’âge, chargé de préparer l’élection d’une nouvelle équipe dirigeante.
Roberto Tshahe Da Cruz
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