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La loi sur la «congolité», connue aussi sous la dénomination «Loi Tshiani» n’a pas été retenue dans le calendrier de la session de mars 2022.

Initié par un ancien candidat à la présidentielle de 2018, Noël Tshiani et porté par le député Nsingi Pululu, ce texte controversé exige que pour occuper le poste de chef de l’Etat, les candidats soient «de père et de mère congolais» ne sera pas débattu au cours de cette session à l’Assemblée nationale.

On rappelle qu’à la dernière session de septembre 2021, ladite loi avait été rejetée au niveau du bureau d’études de l’Assemblée nationale. Selon une source proche de ce bureau, le texte était en contradiction avec certaines dispositions de la Constitution.

Certains Congolais avaient estimé que cette loi constituait un obstacle qui empêcherait à Moïse Katumbi de présenter sa candidature à la présidentielle de 2023 face à Félix Tshisekedi. D’autres ont qualifié cette initiative d’appel de pied au président de la part de Noël Tshiani, à la recherche d’un poste.

La Rédaction

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