Le tribunal de Grande instance de la Gombe a déclaré, ce lundi 6 mars, non fondée la demande de liberté provisoire introduite par Bifort Biselele, ancien conseiller privé du chef de l’État, inculpée entre autre pour trahison et atteinte à la sûreté de l’État.
Biselele a, via ses avocats, introduit ses attestations médicales au niveau du tribunal pour des soins appropriées à l’extérieur du pays. Plusieurs ONG de droit de l’homme plaident pour sa liberté provisoire pour des soins à l’étranger.
Eric Wemba