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Réuni en urgence dimanche 2 avril 2023 suite à l’agression dont a été victime Christian Bosembe, le bureau élargi du Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication (Csac), a condamné avec la dernière énergie cet acte barbare, ignoble et indescriptible organisé par ceux qui se disent combattants, regroupés dans une bande dénommée « Bataillon front populaire », qui utilisent les méthodes des terroristes, et qui pour la plupart « vivent en situation irrégulière en France et dans d’autres pays de l’Europe Occidentale », lit-on dans le communiqué de cette institution d’appui à la démocratie.

Le Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication qui a déjà porté plainte contre ce réseau terroriste, demande aux autorités françaises d’assurer plus de protection aux hauts responsables de la République qui séjournent en mission officielle dans ce territoire hospitalier, de rechercher activement, d’arrêter, de juger, et de sanctionner sévèrement, jusqu’au refoulement de ces professionnels du chaos qui ne sont pas à leur premier forfait.

“ C’est au prix de réparation holistique de l’opprobre subie que le Csac évaluera la bonne foi des autorités françaises ” signale le Csac.

Par ailleurs, le bureau élargi du Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication remercie les membres du gouvernement, les organisations de la société civile, les défenseurs des droits de l’homme ainsi que la corporation des professionnels des médias qui ont ouvertement condamné cette agression barbare et qui ont témoigné leur solidarité à l’endroit du président Christian Bosembe Lokando.

LM

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